L'essentiel est de participer !

Seuls les Jeux sacrés sont concernés par la trêve sacrée, et en fait les Jeux Olympiques pour nous. Ni les Grandes Panathénées, ni les Ptolémiaia (véritable nom des Jeux alexandrins) n'ont de trêves sacrées, mais par contre elles ont un caractère sacré car dévoué à une divinité et dans une enceinte consacrée.

La trêve sacrée comprend aussi le respect des voyageurs se rendant à Olympie. Le temps de la trêve sacrée est bien plus long que cinq jours : les hérauts partis d'Olympie annonçaient la trêve sacrée et tous les Héllènes devaient la respecter.

Je n'ai pas beaucoup de renseignements sur la trêve dans mes livres, par contre les mentions de guerres sacrées abondent concernant Delphes et en particulier les Phocidiens. Les cités et Etats grecs réunis à Delphes en amphictyonie ont ainsi décrétés à plusieurs reprises des guerres contre un contrevenant, permettant ainsi par exemple à Philippes de Macédoine d'intervenir sur le sol grec...

Les autres jeux étant organisés (ou non) par d'autres puissances, il reviendra effectivement à celles ci de les instaurer ou non en fonction des conflits existant.
Contrairement aux Jeux Olympiques (par essence hors politique), ils pourron slaors avoir ou non une dimension diplomatique et politique.

C'est effectivement délicat à gérer....

Mais comme nous jouons à l'année il est difficile de régler cela au jour par jour. De plus l'état de guerre dure plus longtemps que les combats eux même.
Les jeux ne venant que tous les 4 ans, il suffira de ne pas être en guerre contre d'autres Grecs à ce moment là ! Ce qui laisse tout de même 3 ans pour s'étriper joyeusement entre chaque Olympiade !...

Il est dommage que le comité Olympique ait raisonner ainsi ces jeux ont durées seulement quelques jours et aucune preuve ne fait mention que guerres et affrontements il y a eu durant les jeux.


(hrj: Ne serait-il pas possible de trouver une solution ? Car bien que je ne me sois pas encore occuper d'organiser les jeux néméens et isthmique, en effet, mon travail ne sera jamais de la qualité de l'Egypte, je suis nul en ce qui est rédaction d'histoire, cela se contenterait uniquement des résultats au mieux, à ces deux derniers on rajoute les jeux rhodiens et d'Alexandrie cela fait qu'on ne peut presque jamais faire la guerre plus de deux années, dotant plus que la guerre ne dure pas toute l'année, plusieurs mois, et que les jeux uniquement quelques jours)

Le comité Olympique ayant constaté que toutes les conditions de trêves entre Grecs n'ayant pas été respecté à décidé d'annuler les Victoires obtenues par la Ligue du Péloponnèse, qui pourtant est honoré d'avoir sur son sol la tenue des Jeux.

Mais la règle doit être respectée par tous !

Les Dieux sont heureux de la réussite de ces jeux et se réjouissent d'avoir trouvé en Pharaon le digne Poète pouvant clamer ces exploits et ces désastres !

Quelle belle relation de ces Olympiades !

Gains en Prestige :
Macédoine +4
Ligue du Péloponnèse +2
Séleucie +2
Royaume de Bosphore +1
Rhodes +1
Epire et Pont Euxin = 0

L'Epire semble être éleveur de poulains sans pareille.

Désolé, pas de chance aux dés pour le Pont Euxin ni avec 2 D6 ni avec 1D12 !

Cependant, dans ce système il n' y a pas d'exploits ou de désastre exceptionnels : que préférez vous : D6 ou D12 ?

Pour les athlètes, le pal n'est pas très grec... Pourquoi pas le fouet (cela se faisait même pour les entraîneurs à Olympie !)

Sinon il y a la possibilité de participer à moins de compétition mais d'investir sur celles-ci. Ou alors de tenter le danger avec une corruption de juges (voir avec MJ et pharaon)

Le Roi Mithridate félicite le pharaon pour sa plume et précise qu'il commence à penser sérieusement à châtier les champions faisant des prestations calamiteuse. Que pensez-vous de l'épreuve du pal entre les perdants ?

Les Jeux Néméens ne se sont pas déroulés. Néanmoins, en 272 je fais figurer les 127e olympiade, avec un nouveau style de résolution (un D2 et non deux D6) et aussi sans la présence de l'Egypte, que pensez-vous des modifications ?


« Veux-tu chanter les Jeux, ô mon âme ?
Ne cherche pas, au ciel désert quand le jour brille
Un astre plus ardent que le Soleil,
Et n’espère pas célébrer une lice plus glorieuse qu’Olympie ! »
Pindare, 1ère Olympique

Sur les bords du fleuve Alphée, sous le regard du mont Kronion, s’étend le site d’Olympie. Les athlètes hellènes venus d’Orient et d’Occident, des îles poissonneuses et des montagnes intérieures, se rencontrent après leur sévère sélection le mois précédent. Leurs poings se serrent et les mâchoires se ferment dans l’attente des combats…

Le deuxième jour au matin, la foule véhémente fait retentir sa clameur dans l’hippodrome.

Les chevaux adultes s’élancent, emplis de vigueur, dans une folle course de vitesse. Les cavaliers montés à cru frappent, frappent, avec un petit fouet leurs montures. La longueur de six stades est courte et les chevaux écument sous l’effort qui fait battre à le rompre leur cœur. Les cavaliers de Rhodes et du Bosphore se heurtent, tombent, roulent l’un et l’autre sur le sable sur le sable ou sous les huées. Au contraire, les montures de Macédoine et du Péloponnèse s’affrontent à égalité. Leurs sabots pénètrent puis décollent du sable en un mouvement rapide. L’encolure de Bucéphale se penche. Le cheval macédonien remporte la victoire.

Victoires :
Quadrige : Macédoine
Chars tirés par des poulains : Epire
Chevaux montés : Macédoine

Désastres :
Epire
Bosphore
Rhodes

Le deuxième jour dans l’après midi les athlètes se confrontent au pentathlon. Les épreuves de lancer du disque, de saut en longueur, de lancer du javelot, de course et de lutte se succèdent. Les athlètes du Pont-Euxin, désireux d’une revanche de la précédente olympiade, remporte les premiers trois victoires à la suite.


Victoire :
Pentathlon : Pont-Euxin

Le quatrième jour au matin la foule regarde avec attention les athlètes, les encourage de la voix. Les hommes harnachés du casque, portant le lourd bouclier de bronze, courent… Le diaulos (400 mètres) semble aisé au Platéen habitué à courir bien davantage (3000 mètres). Cependant l’Epirote, le Macédonien et le Rhodien se sont élancés devant tous. Sous le lourd soleil leurs bras soulèvent les boucliers ronds venus du temple de Zeus. Leurs jambes noueuses les font bondir de foulée rapide en foulée rapide… Le Macédonien parvient de peu à devancer l’Epirote.

Victoires :
Stade : Bosphore (exploit)
Diaulos : Epire
Dolichos : Péloponnèse (exploit)
Course en armes : Macédoine



L’après midi du dernier jour est l’occasion de sport violent. Le pugiliste séleucide s’avance. Son visage est celui d’un vétéran des combats. Les oreilles sont décollées à forces d’avoir été arrachées, le nez écrasé sous les coups, la tête bosselée. Ses bras semblent être des troncs d’arbres. Les athlètes du Pont Euxin et du Péloponnèse hésitent. Le premier abandonne, le deuxième s’écroule au premier coup, assommé, le visage en sang…
Lors de la lutte l’athlète du pont Euxin tente de l’emporter mais il s’écroule au premier choc. Trois athlètes immenses se dressent l’un contre l’autre. Leurs adversaires désignés par le hasard tombent, chutent, ploient, sans souffles et sans forces face à leur puissances musculaire. Enfin, ils doivent s’affronter. Le joueur macédonien après d’incroyables exploits doit abandonner, écrasés par les coups. Les athlètes rhodien et séleucide se ruent l’un vers l’autre, tête contre tête, « comme des béliers ». Ils tentent de maîtriser les avant-bras ou la nuque de leur adversaire…
« Toi, agrippe-le par en bas avec ton bras droit. Toi, amène ta main là où il t’agrippe par en bas et pose ton pied gauche à côté de lui. Toi, change de place et ceinture-le. Toi, retourne-toi. Toi, attrape-le par les bourses. »
Fragment d’un papyrus égyptien datant de l’époque de Galien d’un professeur de lutte donnant de brèves instructions tour à tour à deux élèves.

Le lutteur rhodien semble devoir être vaincu lorsque son entraîneur hurle à son intention : « Quel bel enterrement de ne pas abandonner à Olympie ». Le colosse rhodien se souvient de l’injonction patriotique : « Quel bel enterrement de mourir pour sa patrie », et, retrouvant des forces, le regard brûlant, il terrasse le Séleucide.

Pugilat : Séleucie
Lutte : Rhodes (exploit) (exploits aussi pour Séleucie et Macédoine)
Pancrace : Rhodes

Désastres :
Epire (deux fois)
Pont Euxin (deux fois)

Les Dieux se réjouissent de ces célébrations !

Que ceux qui investissent pour l'entraînement de leurs athlètes et érudits le fassent savoir (AU Pharaon et à moi même SVP).

Merci.

Prochain Jeux Olympique en 272 : je mettrai les résultats en ligne vers samedi-dimanche, après la parution des Jeux néméens. N'oubliez pas de me transmettre vos investissements.

Pour l'instant les participants sont les mêmes que pour les JO précédent. En 272 l'Egypte fera une petite expédition militaire histoire de ne pas être présente au JO du fait de la trêve olympique.

Ligue du Péloponnèse a écrit:

Je félicite au passage l'Egypte pour la qualité de son travail, je pense que du coup je ne ferai pas paraitre les résultats des jeux isthmiques et néméens.)[/i]

Merci pour ce compliment. J'ai encore des progrès à faire : plusieurs coquilles sont passées dans le texte !

Grande Ligue du Péloponnèse il faut au contraire faire paraître les résultats des Jeux isthmiques et néméens : la compétition est maintenant lancée et tous les MJ de Jeux doivent s'affronter. Le GRAND MJ dans son Olympe décidera seul de la fin de la compétition et du victorieux.

Ligue du¨Péloponnèse, Rhodes, en avant pour vos jeux

Le péloponèse a raison de féliciter cette exploit qui vaut bien plus qu'une victoire .

Je félicite également l'Egypte et la Séleucie pour leur nombreuse victoires.

Le Péloponnèse est fier de cet athlète qui a su réaliser un exploit exceptionnel.

(Je n'ai pas entrainé mes athlètes cette décennie, pas les moyens avec le prix des constructions dans lesquelles je me suis lancés justement pour les jeux ^^

Je félicite au passage l'Egypte pour la qualité de son travail, je pense que du coup je ne ferai pas paraitre les résultats des jeux isthmiques et néméens.)

Quelle beaux exploits et quelle belle narration !

Prestige à la suite des Jeux :
-Séleucie +5
-Egypte +4
-Rhiodes +3
-Peloponnèse +1
-Epire +1
-Pont -2

On triomphe sans gloire avec deux victoire d'on un exploit je suis trés content.

oui : les résultats des dés pour l'Egypte m'embêtent ! C'est pour cela qu'aux prochains jeux l'Egypte ne participera pas et que j'utiliserai un D12 (moins d'exploits mais aussi moins de désastres).

Après j'attends les commentaires des joueurs pour améliorer l'organisation des jeux.

Dans cette affaire Lacédémone avait deux fois +1 mai à chaque fois dans une discipline. Sinon cela serait déséquilibré : aucun désastre ne serait possible pour Lacédémone ce qui enleverait du piquant aux JO : à vaincre sans périls...

Egypte : 3
Sparte : 1

Lacédémone a visiblement perdu sa traditionelle domination sur les jeux; sans doute pour ne plus les organiser )

Conquérir une couronne d’olivier olympique est l’ambition suprême de tout athlète. Sous les regards des 40 000 spectateurs les pugilistes de Lacédémone et de Rhodes, les hoplitodromistes d’Athènes et de Sparte, les conducteurs de quadriges de Séleucie et d’Egypte, les cavaliers enfourchant les superbes montures de Macédoine, les coureurs vénus d’Epire, du Bosphore et du Pont-Euxin… Tous ces athlètes ont prêté serment le premier jour de respecter les règles.

Le deuxième jour au matin, la foule bruyante, enthousiaste, s’assemble dans l’hippodrome.

L’épreuve du quadrige est la plus prestigieuse. Les chars légers tirés par quatre chevaux s’élancent au grand galop… Les chevaux aux naseaux dilatés sous l’effort se distancent déjà. Dès le premier tour des douze à effectuer les chars du Bosphore, de Macédoine et de Rhodes devancent les autres. Le char épirote suivi du char égyptien tente de rivaliser, mais l’écart se creuse de tours en tours.
Les quadriges de la Ligue du Péloponnèse, de Séleucie et du Pont Euxin se côtoient. Les pointes de vitesse alternent avec les virages en épingles à chevaux. Lorsque soudain :
« Quant au coursier de gauche, il devrait frôler cette borne
De façon que le moyeu de l’épaisse roue ait l’air
De l’effleurer. Mais garde-toi de toucher cette pierre,
Car tu fracasserais ton char et blesserais tes bêtes. »
Dit le poète dans le discours de Nestor dans l’Iliade.

Les quadriges du Pont-Euxin et de la Ligue du Péloponnèse se fracassent l’un contre l’autre. Le char séleucide parvient à éviter le choc. Loin, très loin devant, le quadrige rhodien remporte l’épreuve.

Victoires :
Quadrige : Rhodes (exploit)
Chars tirés par des poulains : Epire
Chevaux montés : Séleucie (exploit exceptionnel)

Désastres :
Pont-Euxin
Ligue du Péloponnèse

Le deuxième jour dans l’après midi les athlètes se confrontent au pentathlon. Les épreuves de lancer du disque, de saut en longueur, de lancer du javelot, de course et de lutte se succèdent. Une nouvelle fois les athlètes du Pont-Euxin échouent, dans les cinq épreuves
« causant aux autres de la joie et te couvrant de honte »

Victoire :
Pentathlon : Egypte

Désastre :
Pont-Euxin

Le quatrième jour au matin le stade retentit de la clameur de la foule. Une rangée de dalles en marbre espacés les unes des autres matérialise le départ. Chaque coureur a calé son pied arrière contre sa dalle, a posé son autre pied à quelques dizaines de centimètres. Il se penche en avant pour prendre le départ. Hélas, le coureur séleucide commet un faux départ et est sanctionnée. Enfin, les athlètes s’élancent. La course du stade (200 mètres) met au coude à coude tous les coureurs, mais Pois-Chiche l’Egyptien remporte le prix. La course du diaulos (400 mètres) permet la revanche du Séleucide. Et les douze tours du dolichos (4800 mètres) celle de Rhodes. L’athlète macédonien surclasse sans difficulté les autres coureurs pour la course en armes.

Victoires :
Stade : Egypte (exploit)
Diaulos : Séleucie
Dolichos : Rhodes
Course en armes : Macédoine

Désastre :
Séleucie.

L’après midi du dernier jour est l’occasion de sport violent. Les athlètes sont des hommes grands, très musclés et résistants… Il n’y a que peu de règles et pas de temps imparti. Violence. L’épreuve pugilat voit se lever Areus le spartiate. De sa musculature et de son cou de taureau il effraie puis écrase les adversaires, sanglants et vaincus. Seul le pugiliste du Pont-Euxin tient deux reprises avant de s’effondrer.
Lors de l’épreuve de lutte le séleucide remporte victoire sur victoire. L’homme est un colosse au cou épais de taureau, aux épaules d’acier dignes d’Atlas, sa chevelure et sa barbe herculéennes encadrent son regard de lion. Enfin, lors de l’épreuve du pancrace l’athlète égyptien l’emporte par sa violence sur celle des autres, tous portent des marques douloureuses et sanglantes.

Victoires :
Pugilat : Ligue du Péloponnèse (exploit exceptionnel)
Lutte : Séleucie (exploit exceptionnel)
Pancrace : Egypte.

« Mais si un homme triomphe à la course de vitesse
Ou au pentathlon dans l’enclos de Zeus,
Près de la rivière pisate à Olympie, […]
Il est célébré par ses concitoyens ; »
Xénophane

Pour diminuer la part "d'exceptions" je te conseille plutôt 2D6 (courbe de Gauss oblige...)

Les victoires à la Pyrrhus reprendront elles aux jo

Les jeux sont faits... J'ai les résultats que vous aurez en 276, avec quelques surprises De grands exploits ( deux séries de 3 D6 ce qui est excellent ) et des catastrophes ( deux 1 au D!6 de suite pour le même malchanceux pays) !

Pour les prochains jeux je compte faire deux modifications : adopter un D12 de façon à diminuer le nombre d'exploits et de catastrophes, et aussi peut-être ne pas présenter l'Egypte à cause de son succès cette olympiade.

Lorsque les prochains jeux se seront déroulés vous direz quelle façon de régler les JO vous préférez : avec un D6 ou un D12 ? Avec ou sans l'Egypte ?

Les Dieux bénissent ces règles !