-263 Nis en terre Scordisques - Les ruines de la bataille

Je vous remercie de rester dans certaines limites courtoises dans le cadre de ce dialogue.

Nul souverain n'aurait envoyé un ambassadeur ou un messager pour simmplement dire

"Perseverare Abruticum" ou encore "Que dites vous ?"....

Je vais finir par rendre payante tous les messages diplo !

Que dites vous?

Carthage a écrit:

Errare Humanun est
Perseverare diabolicum

!!

Pour ne pas dire

Perseverare Abruticum !

Errare Humanun est
Perseverare diabolicum

!!

Comment?

En effet comme vous dites, il joue, car c'est un enfant il n'y a qu'à voir cela à son comportement.

Je vous ai dit que je n'entends rien.

Il faut se laver les oreilles!

beati pauperes spiritu !

Il est vraiment fier d'avoir broyer son armée pour rien (sinon sauver le macedonien) .. trahissant un traité, envahissant un pays qu'il ne peut tenir et laissant son propre pays se faire envahir...

Il croit réellement avoir jouer finement ..

Que dites vous?

Cela me fait bien rire.
L'homme qui insulte les Spartiates et Léonidas lui meme et reprend qui l'expression gravé sur le mausolée des Thermopyles en leur honneur, l'homme qui déclare la guerre à la Ligue Hellénique et qui reprend l'expression de leur feu poète.
Que de créativité et d'imagination roi Pyrrhus, je vous félicite pour la longue recherche intellectuelle que vous avez effectuer. Et surtout la longue marche à pied que vous avez du faire pour vous rendre aus ommet du mont Kolonos, voir cette inscription et la recopiée à l'identique.

Comment? J'entends mal.

Cela me fait bien rire.
L'homme qui insulte les Spartiates et Léonidas lui meme et reprend qui l'expression gravé sur le mausolée des Thermopyles en leur honneur, l'homme qui déclare la guerre à la Ligue Hellénique et qui reprend l'expression de leur feu poète.
Que de créativité et d'imagination roi Pyrrhus, je vous félicite pour la longue recherche intellectuelle que vous avez effectuer. Et surtout la longue marche à pied que vous avez du faire pour vous rendre aus ommet du mont Kolonos, voir cette inscription et la recopiée à l'identique.

Le soleil se levait alors que l'armée d'Epire quittait le royaume des Scordisques, victorieux mais affaiblis.

Les cadavres gisaient sur le sol, les Epirotes s'étaient battus et avaient gagné au prix de nombreux sacrifices. Le roi ordonna et écrivit de lui même cette indication:

"Passant, vas dire à Arta que nous sommes morts ici pour obéir à ses lois."

Sur un arbre non loin des lieux. L'Epire donnait une leçon aux celtes qui n'avaient cessé de défier la puissance des grecs, mais à un grand prix. Le prix de la victoire. Les ruines de la bataille demeurerait afin de prendre le souvenir de ce qui fut l'une des batailles les plus sanglantes, et d'où naquit le concept de victoire à la Pyrrhus: une victoire si douloureuse que, bien que lavant l'honneur et souillant celui des adversaires, on avait plus l'envie de crier aux ciels: "Pourquoi Arta en ce jour?"

L'avancée Celte stoppée, la valeur des grecs était une nouvelle fois établie, mais à Arta cette fois.

Aux Balkans

Nous étions seize mille quarante.
Dans la brume, le temps s'était martelé
Des sabots, des fils jusqu'au ciel assaigné,
D'Arta, de l'enfer à la brûlée ardente.

Le temps semblait s'être lié à l'enfer,
Des grésillons, sur lesquels nous marchions,
Notre poids à tous était celui de millions
A nos lances, qui menaçaient le ciel de leur colère.
ô Dieux que nous allions.

Il était fier aux montagnes du vent ;
Ses hommes couards marchaient des Carnyx au son,
Ils venaient semer l'enfer aux contrées des Balkans.
Nous péririons ici, pour Arta, les Dieux, à travers les Monts.

Nous ne marchions pas au Cor mais à l'honneur
Que la vie avait bien souhaité nous armurer.
Elle nous recommanda chaudement de lui préserver nos cœurs.
Nos ennemis gisaient face au ciel d'oser nous défier.

ô Arta aux souvenirs,
C'était pour toi que nous vivions et nous sacrifions.
Pour ta beauté, tu étais la ville de l'honneur,
Destin ô l'Olympe d'une ville de l'éternité.